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Mal de dos

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Mal de dos

Mal de dos

 

Le dos correspond à la colonne vertébrale, depuis la région cervicale jusqu'à la région lombaire.

Comment prévenir la survenue de la lombalgie commune aiguë ?
Lutter contre la sédentarité
De nos jours, la sédentarité est à l'origine de la plupart des maux du dos, car elle entraîne un affaiblissement des muscles en général, ceux qui maintiennent le dos en particulier. La plupart du temps, les douleurs du dos proviennent des muscles, ligaments et articulations du dos qui ne sont plus assez habitués à bouger et se "fatiguent" donc rapidement.
Pour prévenir le mal du dos, il serait donc idéalement nécessaire de faire régulièrement du sport ou d'avoir une activité physique. La plupart des sports sont bénéfiques si on les pratique dans de bonnes conditions, c'est-à-dire :
- si l'effort est précédé d'un échauffement ;
- s'il est progressif, adapté aux capacités physiques (notamment respiratoires) ;
- si les gestes techniques sont bien maîtrisés ;
- si l'équipement est de qualité.
Une activité sportive très intense peut néanmoins être à l'origine de douleurs.
Demandez conseil à votre médecin.

Pourtant "j'ai mal au dos", "j'ai mal aux reins"... sont des expressions communes qui désignent une douleur ressentie dans la région lombaire.

Les lombalgies sont très fréquentes : 80 % des Français auront "mal au dos" au moins une fois dans leur vie.

Ce mal de dos guérit spontanément dans plus de 90 % des cas. Il peut récidiver, sans que cela témoigne d'une plus grande gravité.

Le mal de dos est dit "chronique" quand il dure depuis plus de trois mois.

 

Que pouvez-vous faire à votre niveau en cas de mal de dos ?

 

> Bougez pour vous soigner

 

L'immobilité n'est pas recommandée.

Même en phase de douleur aiguë, maintenez une activité douce, vous n'en guérirez que plus vite.

Veillez à adopter des postures qui ne déclenchent pas de douleur.

Dès que la douleur s'est estompée, essayez de reprendre une activité normale.

À plus long terme, la pratique d'une activité physique régulière vous aidera à renforcer les muscles de votre dos et à maintenir sa mobilité. Des exercices réguliers peuvent vous détendre. Parlez-en à votre médecin traitant : il vous aidera à choisir une activité ou un sport adapté.

 

> Prenez un antalgique

 

Pour soulager le mal de dos, vous pouvez avoir recours à l'automédication et prendre des antalgiques (qui permet de lutter contre la douleur), à condition de respecter quelques règles.

 

Vous devez respecter :

  • la posologie (doses prescrites ou recommandées) ;
  • un intervalle de temps suffisant entre deux prises ;
  • la dose maximale quotidienne. 

Les bonnes positions au quotidien
Tout comme les jambes et les bras, le dos est un élément essentiel au fonctionnement global du corps humain. Pour préserver votre dos, vous pouvez rechercher les gestes qui conviennent et sont les mieux tolérés.
Voici quelques-uns de ces gestes simples. N'oubliez pas qu'il est également indispensable de changer régulièrement de position, de se lever, de marcher et de s'étirer.

Apprendre à s'asseoir
Pour vous asseoir, prenez appui sur les accoudoirs ou, à défaut, sur vos cuisses avec les deux mains. Une fois assis, le dos doit reposer sur un dossier et les pieds, sur le sol ou un repose-pieds.

Attraper ou ramasser un objet en préservant son dos
Pour attraper ou ramasser un objet, se pencher jambes tendues et se tourner en même temps est la plus mauvaise des postures.
Il vaut mieux vous déplacer et vous accroupir. Ce n'est qu'une fois positionné face à l'objet que vous pourrez l'attraper sans risque pour votre dos.
Montez sur un escabeau si l'objet que vous souhaitez attraper est sur une étagère.

Porter une charge
Porter un fardeau à bout de bras est dangereux. Ramenez toujours l'objet ramassé avec les deux mains le plus près possible de votre poitrine.

S'habiller
Pour mettre vos chaussures ou enfiler un pantalon, ne vous mettez pas en équilibre sur un pied : mieux vaut s'asseoir et prendre appui sur son siège.

Monter en voiture
Pour entrer dans un véhicule, ne commencez surtout pas par les jambes. Asseyez-vous sur le siège du véhicule dans les règles de l'art - avec les mains posées sur les cuisses pour prendre appui - puis, rentrez les deux jambes en même temps, tout en vous servant de la portière du véhicule comme support.

Bien se positionner dans sa salle de bains
Pour faire votre toilette ou vous laver les dents, positionnez-vous en fente avant, un pied devant l'autre, les deux genoux pliés, avec une main prenant appui sur le lavabo.

Faire le ménage, entretenir son jardin
Pour passer le balai, l'aspirateur ou même bêcher dans le jardin, positionnez-vous également en fente avant - un pied devant l'autre, les deux genoux pliés. Mais pour retirer les mauvaises herbes, par exemple, posez simplement un genou à terre.

Le non-respect de ces règles peut entraîner des complications, notamment un risque de surdosage.

 

Pour les mêmes raisons, et sauf avis médical contraire, évitez d'associer ou d'alterner des antalgiques de composition différente.
Si l'antalgique n'est pas efficace rapidement et que votre douleur persiste, consultez votre médecin traitant. N'oubliez pas de lui préciser quel type de traitement vous avez pris (médicament, dose, fréquence). 

 

Quand devez-vous consulter pour un mal de dos ?

 

La plupart du temps, le mal de dos est modéré et régresse en quelques jours.

 

Cependant, vous devez consulter rapidement votre médecin traitant si vous présentez :

  • une paralysie d'un pied ou d'une jambe ;
  • des fuites urinaires ou une difficulté à uriner ;
  • de la fièvre.

Vous devez également consulter votre médecin traitant si vous présentez :

  • une fatigue inhabituelle ;
  • une douleur intense, malgré les antalgiques ;
  • une douleur qui atteint son maximum en seconde partie de la nuit et vous réveille.

Un bilan médical est nécessaire pour rechercher un problème sous-jacent, comme les séquelles d'un traumatisme, une tumeur, une infection, une maladie inflammatoire.

 

Soigner le mal de dos

 

> Le traitement médical

 

Pour soigner le mal de dos, votre médecin traitant peut vous prescrire :

  • des antalgiques ;
  • des anti-inflammatoires non stéroïdiens (médicaments qui agissent contre les mécanismes de l'inflammation et n'appartenant pas à la famille des corticoïdes) ;
  • des myorelaxants  (décontractants musculaires). (Myorelaxants : médicaments destinés à lutter contre la contracture musculaire).

Très rarement, mais en cas de douleur intense persistante, votre médecin traitant peut prescrire des infiltrations de corticoïdes.

 

Exceptionnellement, votre médecin traitant peut également vous prescrire des séances de kinésithérapie ou des manipulations vertébrales réalisées par un médecin. Si le mal de dos est le symptôme d'une maladie, votre médecin vous prescrira en plus des antalgiques, le traitement de cette maladie.

 

> Le repos en cas de lombalgie commune aiguë

 

Le repos au lit n’est pas recommandé.

Le repos et l’inactivité risquent à long terme de faire persister vos douleurs.

Une reprise précoce des activités de la vie quotidienne est recommandée pour une restauration de la fonction musculaire.

Une reprise progressive des activités physiques favorise la guérison. Si vous avez une activité professionnelle, un arrêt de travail n’est pas toujours nécessaire.

 

Si votre médecin vous prescrit du repos, il tiendra compte de la nature de votre travail. Si votre travail est sédentaire, l’interruption de travail n’est pas systématique. En revanche, si votre travail est physique, votre arrêt sera adapté à la lourdeur de votre travail (de 3 jours en moyenne en cas de travail physique léger, à cinq semaines en moyenne en cas de travail physique lourd).

 

Par ailleurs, la durée de l’arrêt de travail sera adapté selon :

  • votre âge et votre condition physique ;
  • le retentissement psychologique en cas de douleur persistante ;
  • les possibilités d’adaptation ou de modification temporaires de votre poste de travail, notamment pour un travail très physique. Parlez à votre médecin traitant de votre profession et des conditions dans lesquelles vous travaillez (transport, activité manuelle...).
Pour faciliter la reprise du travail, une consultation précoce du médecin du travail permet si nécessaire, la mise en place d'une adaptation ou d'une modification temporaires de votre poste de travail ou d’une reprise du travail à temps partiel thérapeutique.


 

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